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PRESS BOOK

                             

De l'économie aussi

GL Events, l'empire sous le chapiteau
 

Il revient de trois semaines au Brésil, a fait un détour par la Turquie et a déjà repris son jet privé, direction Rio de Janeiro et la Coupe des

confédérations de football. Le Brésil, c’est le nouvel eldorado d’Olivier Ginon. Là-bas, le patron de GL Events a investi près de 100 millions d’euros. Effet boomerang assuré : après la Coupe des

confédérations, où l’entreprise lyonnaise doit assurer l’installation des gradins, tribunes et autres chapiteaux – son coeur de métier –, viendront les Journées mondiales de la jeunesse (du 23 au 28 juillet), la Coupe du monde de football en 2014 et les Jeux olympiques en 2016… Avec le Brésil, Olivier Ginon compte franchir son premier milliard d’euros de chiffre d’affaires.

L'affaire Spanghero contre Spanghero

"Notre famille est déshonorée", s'est ému Laurent Spanghero devant les caméras de télés alors que la société Ã©ponyme, basée à Castelnaudary, est embourbée depuis deux semaines dans le scandale du "horsegate". Avant de marteler :"Il n'y a plus aucun membre de la famille Spanghero au sein de l'entreprise "Maison Spanghero". Le mal est pourtant déjà fait… Spanghero : ce nom qui a fait la réputation d'une famille mondialement connue dans le monde du rugby et spécialisée dans le commerce de la viande depuis quarante ans est aujourd'hui associé à une tromperie commerciale…

La CGT est-elle suicidaire ?

"Nous sommes convaincus que l’opération de cession entre Arkema et Gary Klesch réalisée en juillet 2012 est frauduleuse", assure Fiodor Rilov, l’avocat du comité d’entreprise de Fos-sur-Mer et de la CGT de Kem One. Alors que le tribunal de commerce de Lyon accordait, mardi 9 juillet, un délai de deux mois supplémentaires aux huit potentiels repreneurs de l’entreprise spécialisée dans la fabrication de PVC, placée en redressement judiciaire depuis le 27 mars dernier, l’avocat et la CGT assignaient les groupes

Klesch et Arkema pour "cession frauduleuse". Dénonçant ainsi la vente de juillet 2012, lors de laquelle Arkema avait cédé ses activités vinyliques pour un euro symbolique à l’homme d’affaires américain Gary Klesch. "Les premières conclusions de l’expert judiciaire, rapportées devant le tribunal, confirment ce que nous soupçonnions depuis le début, à savoir que la cession n’avait pour seul objectif que de conduire les structures Kem One à la faillite et de confier le licenciement d’une partie significative du personnel à un mandataire judiciaire", explique maître Rilov…

Les défaillances d'entreprises

62 500 défaillances d’entreprises en 2013. Soit 4 % de plus qu’en 2012 et un record battu : celui de la crise de 2009 et ses 61 595 faillites. Les derniers chiffres révélés par l’établissement d’assurance-crédit Coface font froid dans le dos. D’autant que les trois quarts de ces

entreprises connaîtront une liquidation judiciaire. Avec une conséquence directe : près de 200 000 salariés aux portes

de Pôle Emploi… Parmi les plus grosses défaillances de l’année 2012-2013 : la liquidation de Virgin, la suppression de 900 emplois aux

abattoirs Gad, le chimiste Kem One placé en redressement judiciaire depuis la fin 2012, ou plus récemment le spécialiste de l’électroménager Fagor Brandt et le transporteur Mory Ducros…

4 000 entreprises américaines en France

Dans une lettre au vitriol adressée au ministre du redressement productif Arnaud Montebourg, le PDG du groupe américain Titan, Maurice Taylor expliquait, mi-février, son choix de ne pas reprendre l’usine Goodyear

d’Amiens. Dressant par la même occasion un portrait très peu flatteur de l’industrie française et de ses ouvriers. Comme lui, sont-ils nombreux à fuir le pays ? Selon Marc Lhermitte, associé au cabinet d’audit Ersnt & Young, et auteur chaque année d’un baromètre sur l’attractivité française pour les investissements directs étrangers (IDE), la France est sur le podium des pays européens les plus attractifs…

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